V. 1-6: cf. 1 Co 9:1-3. 2 Co 4:6, 2 72 5:18-21.
1 Commençons-nous de nouveau à nous recommander nous-mêmes? Ou avons-nous besoin, comme quelques-uns, de lettres de recommandation auprès de vous, ou de votre part? 2 C’est vous qui êtes notre lettre, écrite dans nos cœurs, connue et lue de tous les hommes. 3 Vous êtes manifestement une lettre de Christ, écrite, par notre ministère, non avec de l’encre, mais avec l’Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, sur les cœurs. 4 Cette assurance-là, nous l’avons par Christ auprès de Dieu. 5 Ce n’est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. 6 Il nous a aussi rendus capables d’être ministres d’une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l’esprit; car la lettre tue, mais l’esprit vivifie.
V. 7-18: cf. (Ex 34:28-35. Jn 1:17, 18, 14.) Ga 3:8-29. Hé 7:18-28Hé 8:6-13Hé 12:18-29.7 Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d’Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère, 8 combien le ministère de l’esprit ne sera-t-il pas plus glorieux! 9 Si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère de la justice est de beaucoup supérieur en gloire. 10 Et, sous ce rapport, ce qui a été glorieux ne l’a point été, à cause de cette gloire qui lui est supérieure. 11 En effet, si ce qui était passager a été glorieux, ce qui est permanent est bien plus glorieux. 12 Ayant donc cette espérance, nous usons d’une grande liberté, 13 et nous ne faisons pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage, pour que les fils d’Israël ne fixassent pas les regards sur la fin de ce qui était passager. 14 Mais ils sont devenus durs d’entendement. Car jusqu’à ce jour le même voile demeure quand, ils font la lecture de l’Ancien Testament, et il ne se lève pas, parce que c’est en Christ qu’il disparaît. 15 Jusqu’à ce jour, quand on lit Moïse, un voile est jeté sur leurs cœurs; 16 mais lorsque les cœurs se convertissent au Seigneur, le voile est ôté. 17 Or, le Seigneur c’est l’Esprit; et là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté. 18 Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l’Esprit.
1 Do we begin again to commend ourselves? or need we, as some others , epistles of commendation to you, or letters of commendation from you? 2 Ye are our epistle written in our hearts, known and read of all men: 3 Forasmuch as ye are manifestly declared to be the epistle of Christ ministered by us, written not with ink, but with the Spirit of the living God; not in tables of stone, but in fleshy tables of the heart.
4 And such trust have we through Christ to God-ward: 5 Not that we are sufficient of ourselves to think any thing as of ourselves; but our sufficiency is of God; 6 Who also hath made us able ministers of the new testament; not of the letter, but of the spirit: for the letter killeth, but the spirit giveth life. 7 But if the ministration of death, written and engraven in stones, was glorious, so that the children of Israel could not stedfastly behold the face of Moses for the glory of his countenance; which glory was to be done away: 8 How shall not the ministration of the spirit be rather glorious? 9 For if the ministration of condemnation be glory, much more doth the ministration of righteousness exceed in glory. 10 For even that which was made glorious had no glory in this respect, by reason of the glory that excelleth. 11 For if that which is done away was glorious, much more that which remaineth is glorious. 12 Seeing then that we have such hope, we use great plainness of speech: 13 And not as Moses, which put a vail over his face, that the children of Israel could not stedfastly look to the end of that which is abolished: 14 But their minds were blinded: for until this day remaineth the same vail untaken away in the reading of the old testament; which vail is done away in Christ. 15 But even unto this day, when Moses is read, the vail is upon their heart. 16 Nevertheless when it shall turn to the Lord, the vail shall be taken away. 17 Now the Lord is that Spirit: and where the Spirit of the Lord is , there is liberty. 18 But we all, with open face beholding as in a glass the glory of the Lord, are changed into the same image from glory to glory, even as by the Spirit of the Lord.